Le sirop au sens courant est un liquide visqueux et épais, servi allongé d'eau en boisson, souvent rafraîchissante. Le terme vient du latinsiropus, lui-même dérivé du vocable arabe شراب [sharab] signifiant (boire et) boisson.
Différents sirops, comme le sirop de betterave et le golden syrup, sont des produits de la transformation de la betterave sucrière.
En pharmacopée, le terme « sirop » est aussi employé pour qualifier des liquides visqueux où le sucre est remplacé par d’autres ingrédients.
Le sirop commun est obtenu en faisant dissoudre une importante quantité de sucre dans de l'eau additionnée ou non de sirop de sucre de fruits ou de plantes aromatiques, qui subit ensuite une cuisson à plein feu avant d'être filtrée et embouteillée.
Le produit peut aussi entrer directement dans la composition de préparations plus complexes comme la crème glacée.
La viscosité provient des nombreuses liaisons hydrogène entre les molécules de sucre dissoutes, porteuses de groupements hydroxyle, et l'eau
En cuisine on définit la concentration d'un sirop par des termes imagés (filet, lissé, perlé, boulé, etc.), selon l'aspect et la consistance, et elle se mesure en degrés Baumé. Par exemple lorsque la température atteint 100 °C, le sirop est au stade de cuisson du nappé, qui correspond à 20° Baumé. Puis on passe au petit filet, puis au petit lissé (25° Baumé), au perlé, au grand lissé (30° Baumé), au filet (35° Baumé), etc.
Un sirop léger se fait avec 250 g de sucre par litre d'eau, un sirop concentré peut aller jusqu'à poids pour poids de sucre et d'eau. Pour éviter la cristallisation, il suffit d'ajouter un acide (jus de citron, acide citrique) et éviter les projections de sucre sur les parois du récipient de cuisson.
Une concentration suffisante en sucre permet la conservation des fruits ou des plantes utilisés pour la confection du sirop ; la stérilisation n'est pas nécessaire, le sucre faisant office de conservateur[1]. Du fait de leur très forte teneur en sucre, les sirops se dénaturent très peu par attaque microbienne, et se conservent longtemps. Par osmose, l'eau est attirée vers l'extérieur des germes, ce qui les dessèche.
Pour retrouver la première trace des sirops, il faut remonter au temps des croisades au Moyen-Orient. À l'époque, les croisés découvrent un breuvage appelé « charâb », boisson en arabe. Ils y prennent tellement goût qu'ils vont conserver le mot en le transformant à la mode occidentale. « Charâb » devient « sirupus » puis « sirop ».
C'est bien plus tard, le , que le terme « sirop » apparaît pour la première fois dans un texte réglementaire[1].
En France, le produit voué à être commercialisé fait l'objet de 2 décrets : le décret no 92-818 du et le décret no 97-914 du . Pour se voir attribuer la dénomination, la boisson sirupeuse doit obéir à une règle d'or : être réalisée à base de jus de fruits additionnés de sucre.
Un sirop ne peut être commercialisé que s'il respecte à la lettre la proportion de sucre imposée par les textes réglementaires. Un sirop d'agrumes contient 50 % de sucre minimum (sucre ajouté et sucre de fruits) et au moins 7 % de jus d'agrumes. Pour les autres sirops de fruits, la proportion de sucre monte à au moins 55 % et celle de jus de fruits à 10 % minimum. Pour les sirops portant le nom d'une graine ou d'une plante, cet ingrédient doit impérativement faire partie de la préparation. Contrairement aux autres sirops, les fabrications faisant apparaître la mention « bio » ne doivent contenir ni colorant ni conservateur et être élaboré avec des produits agricoles cultivés biologiquement. Un sirop sans mention particulière peut contenir des sucres différents du sucre de canne, de betteraves, comme les sucres de provenance céréalières : le sirop de glucose (du blé, du riz, d'orge, du maïs, etc.…) et d'isoglucose (glucose provenant de l'amidon du maïs, transgénique ou non)[1].
En Suisse, le sirop de fruit doit avoir une teneur en jus de fruit de 30 % au moins[2].
Suivant les pays, le commerce propose différents types de sirops. Les Européens sont de gros consommateurs de sirops à base de fruits. Le sirop d'érable est quant à lui très prisé au Québec, alors que les Américains fabriquent du sirop de maïs[1].
Des sirops sont obtenus à partir de betterave sucrière, de céréales, de plantes, d’arbres et de fruits suivant différentes techniques. Le goût sucré et la couleur de ces sirops sont nuancés (translucide, ambré, brun, plus foncé ou coloré) suivant leur origine et le degré de raffinage utilisé. Les sirops non-raffinés tels que le sirop de betterave sont riches en minéraux et souvent colorés ou le sirop de Garcinia kola d'origine africaine. La plupart de ces sirops sont connus depuis longtemps et ont été développés par diverses civilisations tel que l’amazake, d’origine asiatique, qui est obtenu par le mélange de riz et de kôji[3], d'autres, tels que le sirop de maïs, sont de facture plus récente.
Les sirops de céréales sont principalement obtenus à partir de blé, de maïs, d’orge et de riz, par hydrolyse des glucides complexes qu’elles contiennent (glucane (amidon), Inuline (fructane)…). Ce sont le sirop de riz brun, le sirop d'orge malté, sirop de maïs et le sirop de glucose[4].
Les sirops de plantes sont principalement obtenus à partir de la tige (canne à sucre, sorgho commun), du tubercule (Smallanthus sonchifolius, Betterave sucrière) ou de l’ensemble de la plante (Agave).
Les sirops d’arbres proviennent principalement de la sève du bouleau, de l'érable et des palmiers. De ces trois arbres, les sirops sont obtenus de la même façon; la sève récoltée est ensuite concentrée par chauffage. En Alaska, au Canada et en Russie de la sève du bouleau est fabriqué le sirop de bouleau[9]. Au Canada, la sève de l'érable produit le sirop d'érable[9]. En Asie, en Amérique du Sud, en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, la sève des palmiers est utilisée pour produire le sirop de palmier[10].
Les sirops de fruits proviennent des jus extraits du fruit et concentrés par chauffage pour donner un sirop épais et riche en glucide.
Les sirops aromatisés sont destinés à la boisson et aux desserts. Ils sont fabriqués à partir de sucre et d'un additif alimentaire au goût particulier. On trouve, entre autres, du sirop de fraise, du sirop de grenadine, du sirop de menthe, du sirop de cassis, du sirop d'orgeat, du sirop de caramel, du sirop de chocolat, du sirop de gingembre.
Des arômes et des colorants sont souvent ajoutés afin que le sirop destiné aux boissons corresponde au goût et à la couleur du fruit original. Des tests sur des enfants ont montré que ceux-ci avaient du mal à reconnaître le parfum d'un sirop dont la couleur « normale » avait été modifiée, prenant un sirop de fraise orangé pour un sirop à la pêche[réf. nécessaire].
De nombreux médicaments sont présentés sous forme de sirop. La tendance est de les remplacer par des sirops sans sucre moins cariogènes, qui, bien évidemment, ne sont plus des sirops au sens strict du terme, mais des suspensionsédulcorées grâce à l'aspartame, l'isomalt, l'acésulfame K, etc. et épaissies grâce à des gélifiants souvent extraits d'algues (carraghénanes par exemple) ou dérivés de la cellulose.
§
Le sirop d'érable est une solution naturellement sucrée, fabriquée à partir de sève d'érable recueillie au début du printemps et concentrée par ébullition.
La qualité du sirop d'érable produit change à mesure que la saison avance, d'un sirop doré au goût délicat à un sirop très foncé au goût prononcé. Des études démontrent que ce changement de qualité est dû à la quantité de bactéries qui augmente au fil de la saison.
La récolte de l'eau d'érable est l'acériculture.
Le sirop d'érable est récolté dans les forêts du nord-est de l'Amérique du Nord, particulièrement au Québec (trois quarts de la production mondiale et 95 % de la production canadienne). Il se vend aujourd'hui partout dans le monde, en particulier au Japon[1].
La méthode de transformation de l'eau d'érable en sirop était déjà connue et maîtrisée par les populations autochtones du Canada lors de l'arrivée des Européens. On s'en servait en particulier comme aliment tonique, au printemps. De nombreuses légendes amérindiennes mettent en scène le sirop d'érable[2].
Aujourd'hui, la consommation de sirop d'érable est généralisée au Québec et en Ontario où le sirop est parfois consommé au quotidien, se vendant à un prix relativement peu élevé. Le sirop d'érable est aussi populaire dans des pays comme le Japon ou l’Allemagne en tant qu'aliment exotique rare. Au Canada et aux États-Unis, le sirop peut être remplacé par le « sirop de table », de prix moins élevé, contenant du sirop de maïs et des arômes artificiels. Au Québec, on appelle péjorativement « sirop de poteau » le sirop de maïs ou tout autre type de sirop sucré considéré comme étant inférieur au sirop d’érable.
Pour évaluer les caractéristiques organoleptiques de l'érable, une "Roue des flaveurs de l'érable" a été créée par Agriculture et Agroalimentaire Canada[3].
Parmi les nombreuses espèces d'érables, trois sont principalement utilisées pour la production de sirop d'érable : l'érable noir (Acer nigrum) et l'érable à sucre (Acer saccharum) mais aussi l'érable rouge (Acer rubrum) dans une moindre proportion[4].
L'eau d'érable est majoritairement produite au Canada et sa transformation en sirop également — 78 % de la récolte mondiale[5] — particulièrement au Québec (74 % de la production mondiale, 95 % de la production canadienne)[6], avec une plus faible production en Ontario et au Nouveau-Brunswick[7]. Il est aussi produit dans certains états des États-Unis d'Amérique, notamment au Vermont, dans l'état de New York, au Massachusetts, au New Hampshire, au Connecticut, au Maine, et en Pennsylvanie. Le climat caractéristique de ces régions à la fin de l’hiver est un facteur déterminant de la production de sirop d’érable.
Les acériculteurs collectent l'eau d'érable essentiellement à la fin de l'hiver ou au début du printemps, suivant les régions, lorsque les nuits de gel sont suivies par des jours de dégel (température diurne positive, journée idéalement ensoleillée, et température nocturne négative) — on appelle cette période la « saison des sucres » ou le « temps des sucres » au Québec[8]. Une entaille (dans la version traditionnelle) permet de récupérer l'eau d'érable, liquide qui contient environ 2 % à 3 % de sucre. Ce sucre (essentiellement du saccharose)[9] provient de la transformation printanière de l'amidon stocké dans les racines de l'arbre, sous l'action d'une enzyme (amylase), dès que la température des racines atteint au moins 1 °C. Au printemps, il monte sous l’écorce, à travers le xylème, dans la totalité de l'arbre afin de fournir l'énergie suffisante pour relancer son métabolisme.
L'eau d'érable (ou sève brute) est différente de la sève élaborée. Celle-ci, nettement plus chargée en minéraux et molécules organiques complexes, ne remonte par les racines que lorsque le métabolisme de l'arbre est relancé. L'arrivée de la sève et de son goût amer marque la fin de la récolte d'eau d'érable.
On ne récolte jamais l'eau d'un érable dont le tronc fait moins de 20 cm de diamètre. La règle générale est donc d'attendre jusqu'à 45 ans après la plantation d'un érable avant de commencer à récolter son eau. Cependant, un érable à sucre peut vivre jusqu'à 300 ans, voire davantage. Il peut donc donner de l'eau à chaque printemps pendant un grand nombre d'années.
La méthode traditionnelle de récolte au moyen de seaux tend à disparaitre de plus en plus, au profit de l'installation permanente d'un système de tubulures reliées à une ou des pompes à basse pression, ce qui évite une manipulation couteuse en temps et en efforts et augmente la production par arbre de plus de 50%[10]
C'est uniquement après l'évaporation que l'eau devient plus consistante et donne naissance au sirop d'érable. Il faut entre 35 et 40 litres d'eau d'érable pour obtenir un litre de sirop. Le bouillage se fait dans un évaporateur (souvent appelé champion) chauffé traditionnellement au bois, mais dans certaines installations modernes au mazout ou à l'électricité. Dans la pratique industrielle, la technique de l'osmose inverse permet une première étape de concentration pour une dépense énergétique moindre.
Il est important d’atteindre le juste niveau d’évaporation car, si le sirop est trop dense, il cristallisera ; par contre, s'il est trop liquide, il risque de fermenter. La température idéale à donner au sirop d'érable est de 3,5 °C de plus que la température d'ébullition de l'eau pure, par exemple, à 101,3 kPa, l'eau pure bouillant à 100 °C, le sirop sera prêt lorsqu'il atteindra 103,5 °C. Il faut adapter ces valeurs à celle de la pression atmosphérique du lieu (altitude) et du moment. On peut aussi mesurer la densité du produit fini à l'aide d'un hydromètre ou son indice de réfraction à l'aide d'un réfractomètre. La fraction massique en saccharose doit correspondre à 66 degrés Brix au minimum.
Le sirop d'érable est ensuite classé par teinte : d'extra clair à foncé. Plus le sirop est clair, meilleure est la classe, mais moins le goût est prononcé. Le sirop le plus fin est fabriqué en mi-saison. Pendant longtemps, la préférence est allée vers un sirop d'érable qui soit le plus clair possible. Jusqu'au XVIIIe siècle, le sirop d'érable était principalement consommé directement par les producteurs ou par leurs proches. À l'époque, il était pour ces personnes plus difficile et plus cher d'obtenir du sucre de canne que du sirop d'érable. On cherchait à obtenir un sucre d'érable qui se rapproche le plus possible du sucre de canne. Aujourd'hui, certains reviennent à des sirops plus colorés car ils ont un goût plus prononcé.
Les différentes qualités de sirop et d'eau d'érable influent sur le processus, généralement réalisé à la cabane à sucre.
Depuis 2020 les acériculteurs classent le sirop d'érable en utilisant une nouvelle méthode. L'association des Producteurs et productrices acéricoles du Québec a changé la méthode de classement pour la rendre moins péjorative. L’entièreté de la catégorie est maintenant de classe A et est déclinée en 4 variantes :
Le sirop d'érable est issu d'une transformation alimentaire (concentration par évaporation) ne faisant appel à aucun additif. Pour le commerce, le sirop d'érable peut également obtenir la certification qu'il est produit selon le cahier des charges de l'agriculture biologique. Les normes attachées à cette certification de production agricole visent l’aménagement de l’érablière, la diversité végétale, la fertilisation éventuelle, le contrôle des ravageurs, l’entaillage, la collecte et la transformation de l’eau d’érable. Par ailleurs, le procédé d'osmose inverse est autorisé pour le sirop d'érable biologique. Toutefois, seules les membranes de type osmose inverse et nanofiltration (ultraosmose) sont autorisées (Cf.CAN/CGSB-32.310-2015 - Remplace CAN/CGSB-32.310-2006 - Modifiée en - 7.2.12.3 Osmoseur et membranes).
Les normes font l'objet d’un cahier des normes, respectées par les acériculteurs (agriculteurs spécialisés dans la culture de l'érable) et contrôlées de manière indépendante. Selon les sources, plus d'un quart (1/4) du sirop d’érable produit au Québec est certifié biologique[11],[12].
Sirop d'érable | |
Valeur nutritionnelle moyenne pour 100 g |
|
Apport énergétique | |
---|---|
Joules | 1088 kJ |
(Calories) | (260 kcal) |
Principaux composants | |
Glucides | 67,04 g |
– Amidon | ? g |
– Sucres | 60,4 g |
Fibres alimentaires | 0,0 g |
Protéines | 0,04 g |
Lipides | 0,06 g |
– Saturés | 0,007 g |
Eau | 32,39 g |
Minéraux et oligo-éléments | |
Calcium | 102 mg |
Fer | 0,11 mg |
Magnésium | 21 mg |
Phosphore | 2 mg |
Potassium | 212 mg |
Sodium | 12 mg |
Zinc | 1.47 mg |
Vitamines | |
Provitamine A | 0 mg |
Vitamine A | 0 mg |
Vitamine B1 | 0,066 mg |
Vitamine B2 | 1,270 mg |
Vitamine B3 (ou PP) | 0,081 mg |
Vitamine B6 | 0,002 mg |
Vitamine C | 0 mg |
Vitamine D | 0 mg |
Vitamine E | 0 mg |
Vitamine K | 0 mg |
Acides aminés | |
Acides gras | |
|
|
Source : USDA Nutrient Database, 2019(en) | |
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Le sirop d'érable contient principalement des glucides et de l’eau : une étude de 2007 relève en moyenne 68 % de saccharose, 0,4 % de glucose, 0,3 % de fructose et 31,7 % d'eau[13]. Il est aussi riche en sels minéraux tels que le potassium (1 300-3 900 ppm), le calcium (400-2 800 ppm), le magnésium (12-360 ppm), le manganèse (2-220) et le phosphore (79-183 ppm)[13]. Il contient aussi des acides organiques tels que l'acide malique (de 0,1 à 0,7 %), et en moindre quantité les acides citrique, succinique et fumarique (moins de 0,06 ppm)[14]. Le pH du sirop d'érable varie entre 5,6 et 7,9[14].
L'apport énergétique d'une cuillère à table (15 ml) de sirop d'érable est de 50 kilocalories[4].
Plus on réduit par évaporation le sirop, plus on obtient un produit consistant.
Le sirop d'érable comporte des polyphénols et affiche une valeur ORAC (Oxygen Radical Absorbance Capacity) comparable à celle de fruits et légumes courants de notre alimentation, tel le brocoli[note 1]. Il faut noter que l'USDA ne considère plus les valeurs ORAC comme ayant une valeur scientifique[15]. L'eau d'érable et le sirop d'érable contiennent également d'importantes quantités de terpènes, et plus particulièrement d'acide abscissique. Cet acide est reconnu, entre autres, pour stimuler le relâchement de l'insuline par les cellules pancréatiques et accroître la sensibilité des cellules adipeuses à l'insuline, ce qui lui confère des propriétés thérapeutiques contre le syndrome métabolique et le diabète[16].
Le sirop d'érable du Canada renferme plus de 20 composés antioxydants selon des travaux du chercheur américain Navindra Seeram de l'Université de Rhode Island[17].
Une étude menée par des chercheurs de l'Université McGill en 2015 a montré qu'un concentré de sirop d'érable rend les bactéries plus vulnérables aux antibiotiques. Selon les chercheurs, cette découverte pourrait permettre d'atténuer les problèmes d'antibiorésistance et de réduire la quantité d'antibiotiques administrée à un patient[18],[19].
Une équipe de chercheurs de l'Université Laval a démontré des propriétés anti-inflammatoires d'une molécule présente dans le sirop d'érable, le québécol[20]. Cette molécule, ainsi que d'autres molécules dérivées, pourrait permettre un nouveau traitement pour l'arthrite ainsi que d'autres maladies inflammatoires. Les chercheurs ont été capables de synthétiser le québécol en laboratoire, ainsi que ses molécules dérivées.
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← → ↔ ⇐ ⇒ ⇔ ·
⌈ ⌉ ⌊ ⌋ ·
¬ ∧ ∨ ∃ ∀ ·
∈ ∉ ∋ ∅ ⊆ ⊇ ⊃ ⊂ ⊄ ∪ ∩ ℵ
Simples : ^{+} _{+} \sqrt[+]{} \frac{+}{} \int_{+}^{} \lim_{+\rightarrow} \sum_{+=}^{}
Fonctions standard : \sin{+} \cos{+} \tan{+} ·
\cot{+} \sec{+} \csc{+} ·
\exp{+} \ln{+} \log{+} ·
\sinh{+} \cosh{+} \tanh{+} \coth{+} ·
\arcsin{+} \arccos{+} \arctan{+}
Diactritiques : \acute{+} \breve{+} \check{+} \grave{+} \tilde{+}
Aide pour les formules
(française) :
a ɑ e ɛ ə i o ɔ u y ø œ ·
ɔ̃ ɑ̃ ɛ̃ œ̃ ·
j w ɥ ·
ː ‿ _́ _̀ _̌ _̂ ·
b k ʃ d f ɡ h ʒ l m n ɲ ŋ p r s t v z ʀ ʁ
(autres) :
ʈ ɖ c ɟ q ɢ ʔ ɱ ɳ ɴ ʙ ɾ ɽ ɸ β θ ð ʂ ʐ ç ʝ x ɣ χ ħ ʕ ɦ ʋ ɹ ɻ ɰ ɫ ɮ ɭ ʎ ʟ ƥ ɓ ƭ ɗ ƈ ʄ ƙ ɠ ʠ ʛ ʍ ʜ ʢ ʡ ɕ ʑ ɧ ·
ʘ ǀ ǃ ǂ ǁ ɺ t͡s d͡z t͡ʃ d͡ʒ t͡ɕ d͡ʑ ·
ɚ ɝ ˈ ˌ ˑ ɨ ʉ ɯ ɪ ɜ ʏ ʊ ɤ ɵ ʌ æ ɐ ɶ ɒ ·
ᵊ ʰ ˤ ˠ ʲ ʷ ⁿ ᵑ ᵐ ʳ ·
˥ ˦ ˧ ˨ ˩
Alphabet phonétique international
Á á Ć ć É é Í í Ó ó Ś ś Ú ú Ý ý Ǿ ǿ ·
À à È è Ì ì Ò ò Ù ù ·
 â Ĉ ĉ Ê ê Ĝ ĝ Ĥ ĥ Î î Ĵ ĵ Ô ô ŝ Ŝ Û û ·
Ä ä Ë ë Ï ï Ö ö Ü ü ÿ ·
à ã Ñ ñ Õ õ ·
Å å ·
Ç ç ·
Č č Š š ŭ ·
Ł ł ·
Ő ő Ű ű ·
Ø ø ·
Ā ā Ē ē Ī ī Ō ō Ū ū Ȳ ȳ ·
Ă ă Ĕ ĕ Ğ ğ Ĭ ĭ Ŏ ŏ Ŭ ŭ Y̆ y̆ ...
ß ...
Æ æ Œ œ ·
Ð ð Þ þ |
Alphabet :
Α Β Γ Δ Ε Ζ Η Θ Ι Κ Λ Μ Ν Ξ Ο Π Ρ Σ Τ Υ Φ Χ Ψ Ω - Ϝ Ϻ ϟ Ϡ Ϛ Ϸ Ῥ —
α β ϐ γ δ ε ζ η θ ϑ ι κ ϰ λ μ ν ξ ο π ϖ ρ ϱ σ ς τ υ φ ϕ χ ψ ω - ϝ ϻ ϟ ϡ ϛ ϸ ῤ ῥ
sans esprit : accent aigu : Ά Έ Ή Ί Ό Ύ Ώ — ά έ ή ί ό ύ ώ — ᾴ ῄ ῴ — accent grave : Ὰ Ὲ Ὴ Ὶ Ὸ Ὺ Ὼ — ὰ ὲ ὴ ὶ ὸ ὺ ὼ — ᾲ ῂ ῲ
accent circonflexe : ᾶ ῆ ῖ ῦ ῶ — ᾷ ῇ ῷ — tréma : ῗ ῧ — ῒ ῢ — ΐ ΰ — diphtongues : ᾼ ῌ ῼ — ᾳ ῃ ῳ
esprit doux : sans accent : Ἀ Ἐ Ἠ Ἰ Ὀ Υ̓ Ὠ — ᾈ ᾘ ᾨ — ἀ ἐ ἠ ἰ ὀ ὐ ὠ — ᾀ ᾐ ᾠ —
accent aigu : Ἄ Ἔ Ἤ Ἴ Ὄ Ὤ — ᾌ ᾜ ᾬ — ἄ ἔ ἤ ἴ ὄ ὔ ὤ — ᾄ ᾔ ᾤ
accent grave : Ἂ Ἒ Ἢ Ἲ Ὂ Ὢ — ᾊ ᾚ ᾪ — ἂ ἒ ἢ ἲ ὂ ὒ ὢ — ᾂ ᾒ ᾢ —
accent circonflexe : Ἆ Ἦ Ἶ Ὦ — ᾎ ᾞ ᾮ — ἆ ἦ ἶ ὖ ὦ — ᾆ ᾖ ᾦ
esprit rude : sans accent : Ἁ Ἑ Ἡ Ἱ Ὁ Ὑ Ὡ — ἁ ἑ ἡ ἱ ὁ ὑ ὡ —
accent aigu : Ἅ Ἕ Ἥ Ἵ Ὅ Ὕ Ὥ — ᾍ ᾝ ᾭ — ἅ ἕ ἥ ἵ ὅ ὕ ὥ — ᾅ ᾕ ᾥ
accent grave : Ἃ Ἓ Ἣ Ἳ Ὃ Ὓ Ὣ — ᾋ ᾛ ᾫ — ἃ ἓ ἣ ἳ ὃ ὓ ὣ — ᾃ ᾓ ᾣ —
accent circonflexe : Ἇ Ἧ Ἷ Ὗ — ᾏ ᾟ ᾯ — ἇ ἧ ἷ ὗ ὧ — ᾇ ᾗ ᾧ
Voyelles courtes : Ᾰ ᾰ Ῐ ῐ Ῠ ῠ — Voyelles longues : Ᾱ ᾱ Ῑ ῑ Ῡ ῡ
А Б В Г Д Е Ж З И Й К Л М Н О П Р С Т У Ф Х Ц Ч Ш Щ Ъ Ы Ь Э Ю Я ·
а б в г д е ж з и й к л м н о п р с т у ф х ц ч ш щ ъ ы ь э ю я
Serbe : Ђ ђ Ј ј Љ љ Њ њ Ћ ћ Џ џ
ā ă ä â ē ĕ ī ĭ î ō ŏ ô ŭ o͞o ("food") o͝o ("foot") û ə ·
ʾ ʿ ḇ č ḍ ḏ ǧ ḡ ǵ ḥ ḫ ḳ ḵ p̄ ṣ š ś ṭ ṯ ẓ ž ā ă á ǝ ē ĕ ī ĭ ō ŏ ū ŭ
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ﺍ ﺑ ﺗ ﺛ ﺟ ﺣ ﺧ ﺩ ﺫ ﺭ ﺯ ﺳ ﺷ ﺻ ﺿ ﻃ ﻇ ﻋ ﻏ ﻓ ﻗ ﻛ ﻟ ﻣ ﻧ ﻫ ﻭ ﻳ · Initial
ﺍ ﺒ ﺘ ﺜ ﺠ ﺤ ﺨ ﺪ ﺬ ﺮ ﺰ ﺴ ﺸ ﺼ ﻀ ﻄ ﻈ ﻌ ﻐ ﻔ ﻘ ﻜ ﻠ ﻤ ﻨ ﻬ ﻮ ﻴ · Médial
ﺎ ﺐ ﺖ ﺚ ﺞ ﺢ ﺦ ﺪ ﺬ ﺮ ﺰ ﺲ ﺶ ﺺ ﺾ ﻂ ﻆ ﻊ ﻎ ﻒ ﻖ ﻚ ﻞ ﻢ ﻦ ﻪ ﻮ ﻲ · Final
ﺍ ﺏ ﺕ ﺙ ﺝ ﺡ ﺥ ﺩ ﺫ ﺭ ﺯ ﺱ ﺵ ﺹ ﺽ ﻁ ﻅ ﻉ ﻍ ﻑ ﻕ ﻙ ﻝ ﻡ ﻥ ﻩ ﻭ ﻱ · Seul
Diacritiques majuscules : Ṭ Ṯ Ḥ Ḫ Ḏ Ḍ Ṣ Š Ẓ Ḡ Ā Ī Ū
Diacritiques minuscules : ṭ ṯ ḥ ḫ ḏ ḍ ṣ š ẓ ḡ ā ī ū ʾ ʿ
Tifinagh : ⴰⴱ(ⴲ) ⴳ(ⴴ) ⴷ(ⴸ) ⴺ(ⴹ) ⴻ ⴼ ⴽ(ⴿ) ⵀ ⵃ ⵄ ⵅ ⵇ ⵉ ⵊ ⵍ ⵎ ⵏ(ⵒ) ⵓ ⵔ ⵕ ⵖ ⵙ ⵚ ⵛ ⵜ(ⵝ) ⵟ (ⵠ) ⵡ ⵢ ⵣ ⵥ ⵯ
Latin, majuscules : Ɛ Č Ḍ Ğ Ḥ Γ(Ɣ) Ṛ Ṣ Ṭ Ț Ẓ Ž
Latin, minuscules : ε č ḍ ğ ḥ ɣ ṛ ṣ ṭ ţ ẓ ž
Latin, labio-vélarisation : ʷ
À à Ç ç É é È è Í í Ï ï Ó ó Ò ò Ú ú Ü ü L·L l·l ·
Č č Ć ć Dž dž Đ đ Š š Ž ž
¿+? ¡+! Á á É é Í í Ñ ñ Ó ó Ú ú Ü ü ª º
Ĉ ĉ Ĝ ĝ Ĥ ĥ Ĵ ĵ Ŝ ŝ Ŭ ŭ
Č č Š š Ž ž Õ õ Ä ä Ö ö Ü ü
Á á À à Â â Ä ä É é È è Ê ê Ë ë Ì ì Î î Ï ï Ó ó Ò ò Ô ô Ö ö Ù ù Û û Ẁ ẁ Ŵ ŵ Ẅ ẅ Ý ý Ỳ ỳ Ŷ ŷ Ÿ ÿ
Ā ā Ē ē Ī ī Ō ō Ū ū ʻ
א ב ג ד ה ו ז ח ט י כ ך ל מ ם נ ן ס ע פ ף צ ץ ק ר ש ת ׳ ״
ȝ ỉ ˁ ḥ ḫ ẖ ś š ḳ ṯ ḏ
Ȝ Ỉ ˁ Ḥ Ḫ ẖ Ś Š Ḳ Ṯ Ḏ
Á á É é Í í Ó ó Ö ö Ő ő Ú ú Ü ü Ű ű
ḱ ǵ ʰ ʷ h₁ h₂ h₃ m̥ n̥ l̥ r̥ ē ō þ ð ƕ
Á á Ḃ ḃ Ċ ċ Ḋ ḋ É é Ḟ ḟ Ġ ġ Í í Ṁ ṁ Ó ó Ṗ ṗ Ṡ ṡ Ṫ ṫ Ú ú
Á á Ð ð É é Í í Ó ó Ú ú Ý ý Þ þ Æ æ Ö ö
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Ā ā Č č Ē ē Ģ ģ Ī ī Ķ ķ Ļ ļ Ņ ņ Ō ō Ŗ ŗ Š š Ū ū Ž ž
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